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Un communisme qui n'oublie pas l'homme / Imre Nagy

[Livre]

Imre Nagy

Edité par Plon

1957

Un communiste qui a choisi le peuple : portrait d'Imré Nagy.

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Langue
français
Description physique
274 p.
Date de publication
1957
Collection
Tribune libre
Contributeurs
Laszlo, Imre. Traducteur
Fejtö, François. 081
Cotes
  • 183183
Disponible

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Livre - 1965 - Journal de ce que j'apprends chaque jour, juillet 1846. Février 1848. / Victor Hugo

Disponible à Médiathèque Jean-Lévy - Patrimoine

Patrimoine Magasin niveau 1 (entresol) | 79776-1 | Livre | Disponible

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L'histoire d'un semestre d'études littéraires à Paris d'un jeune hongrois, Georges, en 1924. Il a vingt-deux ans, il est encore immature et son séjour à Paris est à la fois une quête de lui-même et une initiation aux relations amoureuses et sociales.

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Biographie

Élevé par sa mère, Sophie Trébuchet, dans l'esprit du royalisme, Victor Hugo se laisse peu à peu convaincre de l'intérêt de la république (J'ai grandi, écrit-il dans le poème Écrit en 1846 en réponse au reproche d'un ami de sa mère). Victor Hugo devient ainsi confident de Louis-Philippe en 1844, puis pair de France en 1845. Son premier discours en 1846 est pour défendre le sort de la Pologne écartelée entre plusieurs pays, puis en 1847, il défend le droit au retour des bannis, dont celui de Jérôme Napoléon Bonaparte. Il réclame la diminution du temps de travail des enfants, de 16 heures à 10 heures, mais sa proposition est contrée par le baron Louis Jacques Thénard dont il se vengera en formant le nom des Thénardier, ses personnages les plus détestables des Misérables. Le 25 février 1848, il est nommé maire du . Après un premier échec, il est élu le 4 juin 1848- député de la deuxième République et siège parmi les conservateurs. Le 20 juin, il prononce son premier discours à l'Assemblée. Lors des , il devient, comme soixante autres, commissaire chargé par l’Assemblée Constituante de rétablir l’ordre. Il commande des troupes face aux barricades, dans l'arrondissement parisien dont il se trouve être le maire. Il désapprouvera plus tard la répression sanglante à laquelle il a participé. Il fonde le journal L'Événement en août 1848. Il est déçu par les autorités issues de la révolution de février et les lois répressives, que vote l'assemblée constituante contre la presse les 9 et 11 août 1848-, le révulsent et lui font dire : « Les hommes qui tiennent le pays depuis février ont d’abord pris l’anarchie pour la liberté ; maintenant ils prennent la liberté pour l’anarchie ». Il soutient la candidature de Louis-Napoléon Bonaparte, élu président de la République en décembre 1848. Après la dissolution de l'Assemblée nationale, il est élu le 13 mai 1849 à l'Assemblée législative et prononce son Discours sur la misère le 9 juillet 1849. Il rompt avec Louis-Napoléon Bonaparte, lorsque celui-ci soutient le retour du pape à Rome, et il se bat progressivement contre ses anciens amis politiques, dont il réprouve la politique réactionnaire.