Soy libre / Atahualpa Yupanqui

[CD]

Atahualpa Yupanqui

Edité par Le Chant du Monde

2006

Contient
  • Trabajo, quiero trabajo
  • Le tengo rabia silencio
  • La Copla
  • Soy libre
  • Danza del maiz maduro
  • Duerme negrito
  • El Arriero va
  • El Tulumbano
  • El Arbol que tu olvidaste
  • Punay
  • Campesino
  • La Finadita
  • Los Ejes de mi carreta
  • Pobrecito soy
  • El Nino duerme sonriendo
Vérification des exemplaires disponibles ...

Où le trouver ?

Suggestions

Du même auteur

Gracias a la vida / La Chimera | Peteco Carabajal

Gracias a la vida / La Chimera

[CD]


Peteco Carabajal
2017

Après le succès de leur précédent album, Eduardo Egüez et la Chimera se concentrent sur une région emblématique, habitée originellement par des peuples guaranis et incas, plus tard dominés par les Jésuites, dans ce qui est de nos jours le Paraguay, la Bolivie, le Pérou, le Chili et l'Argentine. Gracias a la vida est un hommage à la musique de ces peuples, à travers un "folklore imaginaire" qui par…

La vie sur les os / Géraldine Torres | Géraldine Torrès

La vie sur les os / Géraldine Torres

[CD]


Géraldine Torrès
2016

Tombée dans la marmite encore petite, Conservatoire de musique, puis école de théâtre et école de cirque du Lido à Toulouse, Géraldine Torres rejoint à son adolescence l'équipe de La Caravane des Quartiers, festival itinérant dans les quartiers d'Albi, Paris, Villeurbanne, jusqu'a Belfast en Irlande. Elle y rencontre de nombreux groupes dont La Mano Negra qu'elle va suivre sur plusieurs dates en E…

Campo abierto / Amando Risueno | Amando Risueno

Campo abierto / Amando Risueno

[CD]


Amando Risueno
2018

Cet album consacré aux musiques traditionnelles d'Argentine s'écoute comme une géographie musicale composée de nuances et de contrastes. Les sonorités urbaines et rurales donnent naissance à un paysage multiple et imaginaire. Amando sort des sentiers battus de la musique orchestrale traditionnelle en proposant des interprétations à la guitare et au chant. Mêlant ainsi simplicité et profondeur, il …

En savoir plus

Biographie

: Toutes les occurrences du nom de lieu « La Haye » dans cet article font référence à La Haye-en-Touraine, aujourd'hui Descartes (Indre-et-Loire) et non à La Haye (Hollande-Méridionale). René Descartes est un mathématicien, physicien et philosophe français, né le 31 mars 1596 à La Haye-en-Touraine{{note|nom=Naissance|texte=Aujourd'hui la ville de Descartes. En l'absence de documents, le lieu de naissance a été discuté. L'acte de baptême, ayant eu lieu le {{date|3|avril|1596}} dans l'église Saint-Georges de Descartes, n'indique ni la date, ni le lieu de naissance. La date de naissance a été donnée par René Descartes, en 1649, dans une lettre adressée à M. Schooten, à Leyde. Le lieu de naissance a été déduit de l'acte de baptême. La famille paternelle de Descartes s'est établie à Châtellerault, celle de sa mère, à La Haye. Pour certains auteurs du XIX, suivant une tradition locale, sa mère aurait accouché sur la route reliant Châtellerault et La Haye.|groupe=n}} et mort le 11 février 1650 à Stockholm. Il est considéré comme l’un des fondateurs de la philosophie moderne. Il reste célèbre pour avoir exprimé dans son Discours de la méthode le cogito{{note|texte=Le cogito est initialement exposé en français par Descartes dans le Discours de la méthode (1637), quatrième partie : « Mais aussitôt après je pris garde que, pendant que je voulois ainsi penser que tout étoit faux, il falloit nécessairement que moi qui le pensois fusse quelque chose ; et remarquant que cette vérité, je pense, donc je suis, étoit si ferme et si assurée, que toutes les plus extravagantes suppositions des sceptiques n'étoient pas capables de l'ébranler, je jugeai que je pouvais la recevoir sans scrupule pour le premier principe de la philosophie que je cherchois ».|groupe=n}} {{incise|{{citation|Je pense, donc je suis}}}} fondant ainsi le système des sciences sur le sujet connaissant face au monde qu'il se représente. En physique, il a apporté une contribution à l’optique et est considéré comme l'un des fondateurs du mécanisme. En mathématiques, il est à l’origine de la géométrie analytique. Certaines de ses théories ont par la suite été contestées (théorie de l’animal-machine) ou abandonnées (théorie des tourbillons ou des esprits animaux). Sa pensée a pu être rapprochée de la peinture de Nicolas Poussin pour son caractère clair et ordonné, rapprochement qui semble contradictoire. Le cogito marque la naissance de la subjectivité moderne. Sa méthode scientifique, exposée à partir de 1628 dans les Règles pour la direction de l'esprit, affirme à partir du Discours de la méthode (1637), une rupture par rapport à la scolastique enseignée dans l'Université, qui fait la réconciliation entre la philosophie d'Aristote et le christianisme. Le Discours de la méthode s'ouvre sur une remarque proverbiale Le bon sens est la chose du monde la mieux partagée{{note| « Le bon sens est la chose du monde la mieux partagée ; car chacun pense en être si bien pourvu, que ceux même qui sont les plus difficiles à contenter en toute autre chose n’ont point coutume d’en désirer plus qu’ils en ont. » Discours de la méthode, Première partie.|groupe=c}} pour insister davantage sur l'importance d'en bien user au moyen d'une méthode qui nous préserve, autant que faire se peut, de l'erreur. Elle se caractérise par sa simplicité et prétend rompre avec la philosophie scolastique qu'on lui avait enseignée au collège de La Flèche, jugée trop « spéculative ». Elle s’inspire de la méthode mathématique, cherchant à remplacer la syllogistique aristotélicienne utilisée au Moyen Âge depuis le XIII. Comme Galilée, il se rallie au système cosmologique copernicien, idées qui révolutionneront à leur tour la philosophie et la théologie. L’influence de René Descartes sera déterminante sur tout son siècle : les grands philosophes qui lui succéderont développeront leur propre philosophie par rapport à la sienne, soit en la développant (Arnauld, Malebranche), soit en s’y opposant (Locke, Hobbes, Pascal, Spinoza, Leibniz). Il affirme un dualisme substantiel entre l'âme et le corps{{note|Dans une optique strictement cartésienne le dualisme est entre la pensée et l'étendue, notions en lesquelles se résument en quelque sorte ce que la tradition appelait l'âme et le corps.|groupe=n}}, en rupture avec la tradition aristotélicienne. Il radicalise sa position en refusant d'accorder la pensée à l'animal, le concevant comme une « machine », c'est-à-dire un corps entièrement dépourvu d'âme. Cette théorie sera critiquée dès son apparition mais plus encore à l'époque des Lumières, par exemple par Voltaire, Diderot ou encore Rousseau.