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Camino / Nathalie Papin

[Livre]

Nathalie Papin

Edité par l'École des loisirs

2003

Noam est handicapé depuis un accident, il ne peut plus marcher. Mais, un jour il se retrouve face à son destin, qui porte le nom de Camino. A travers cette fable initiatique racontant son voyage, Noam va changer.

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Langue
français
Description physique
80 p.
Date de publication
2003
Collection
Théâtre (Paris. 1995)
Collection
Théâtre
Cotes
  • T PAP
ISBN
2-211-07033-7
EAN
9782211070331 ; 2211070337
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Biographie

Albert Camus, né le 7 novembre 1913 à Mondovi dans le département de Constantine (aujourd'hui Dréan dans la wilaya d'El Tarf), en Algérie pendant la période coloniale française, et mort par accident le 4 janvier 1960 à Villeblevin en France, est un philosophe, écrivain, journaliste militant, romancier, dramaturge, essayiste et nouvelliste français, lauréat du prix Nobel de littérature en 1957. Né sur la côte orientale de l'Algérie, à proximité de Bône (aujourd'hui Annaba), de parents pieds-noirs, Camus passe son enfance dans les quartiers pauvres et populaires. Grâce à son instituteur Louis Germain, il est reçu au Grand Lycée d’Alger et entre par la suite en hypokhâgne à l'université, où Jean Grenier est son professeur de philosophie. Mais sa santé — dégradée par la tuberculose — ne lui permet pas d'accéder à une carrière universitaire. Après des débuts journalistiques et littéraires et la publication de deux de ses plus grandes œuvres : L'Étranger et Le Mythe de Sisyphe, il s'engage dans la Résistance française lors de l'Occupation, où il devient, fin 1943, rédacteur en chef du journal Combat. Son œuvre comprend des pièces de théâtre, des romans, des nouvelles, des films, des poèmes et des essais dans lesquels il développe un humanisme sceptique et lucide fondé sur la prise de conscience de l'absurde, de la condition humaine et de la révolte, qui conduit à l'action, à la justice, et qui donne un sens au monde et à l'existence ; l'œuvre de Camus a par conséquent contribué à la montée de la philosophie de l'absurde. Rattaché à l'existentialisme, dans le sens où « l'absurde camusien » est aussi une réponse au nihilisme, l'écrivain a toujours refusé d'être étiqueté à ce courant. Internationaliste réformiste, moraliste, abolitionniste et proche des courants libertaires, il prend notamment position sur la question de l'indépendance de l'Algérie et ses rapports avec le Parti communiste algérien, qu'il quitte après un court passage de deux ans. Il proteste également contre les inégalités et la misère qui frappent les indigènes d'Afrique du Nord tout comme il dénonce la caricature du pied-noir exploiteur, tout en prenant la défense des Espagnols exilés antifascistes, des victimes du stalinisme ou encore des objecteurs de conscience. En marge des courants philosophiques, Camus est d'abord témoin de son temps et ne cesse de lutter contre les idéologies et les abstractions qui détournent de l'humain. Il est ainsi amené à s'opposer aussi bien au libéralisme qu’à l'existentialisme et au marxisme. Lors de la sortie de L'Homme révolté en 1951, sa critique de la légitimation de la violence et son antisoviétisme lui valent les anathèmes des intellectuels communistes, ainsi que sa rupture avec Jean-Paul Sartre. En janvier 1960, victime d'un accident de voiture brutal alors qu'il se rendait à Paris avec Janine, Anne et Michel Gallimard, il meurt sur le coup, à 46 ans, et laisse derrière lui une partie inachevée de son œuvre.