Vous êtes ici : Accueil / Détail du document

We belong / Sinkane

[CD]

Sinkane

Edité par City Slang

2024

We Belong, co-produit par Money Mark (Beastie Boys), avec la participation de Bilal, Hollie Cook et True Osborne ! We Belong marque le premier album de l'américano-soudanais Sinkane depuis 5 ans. C'est une lettre d'amour de Sinkane à la musique noire. Toujours à la croisée des chemins, son métissage fascinant entre gospel, afrobeat, funk des années 70, soul, et les rythmes de son pays natal, le Soudan, We Belong raconte une histoire sur la musique noire et les Noirs avec ses refrains en forme d'hymne fédérateur.

Contient
  • Come together
  • Another day
  • Rise above
  • Invisible distance
  • Everything is everything
  • We belong
  • How sweet is your love
  • Living
  • Home
  • The anthem
Retour prévu le 31/03/2025

Plus d'infos

Où le trouver ?

Pour réserver un exemplaire, il est nécessaire d'être authentifié. Les réservations dépendent de votre abonnement en cours.

Document Vidéo - 2016 - L'ange ivre / Akira Kurosawa, réal., scénario

Retour prévu le 31/03/2025 à Médiathèque Jean-Lévy

Espace Musique/Cinéma | F ANG | Blu-ray | Sorti | 31/03/2025

Suggestions

Du même auteur

Saviors / Green Day | Green Day

Saviors / Green Day

[CD]


Green Day
2024

Suite à l'album "Father of all"..., le trio incontournable renoue avec Rob Cavallo à la production, et offre une ode au punk et au rock'n'roll. Le groupe fêtera également les 20 ans du cultissime American idiot en 2024, vendu à plus de 8 millions d'exemplaires.

Rebirth of innocence / Oan Kim & The Dirty Jazz | Oan Kim & The Dirty Jazz

Rebirth of innocence / Oan Kim & The Dirty Jazz

[CD]


Oan Kim & The Dirty Jazz
2024

Télérama place Oan Kim entre Chet Baker et Portishead, et Libération classe son album dans son top de 2023. Oan Kim, conscient des défis, confirme son talent avec Rebirth of innocence. Cet album, collection de compositions créées en solo mais enregistrées avec un quintette spécialement réuni, révèle une nouvelle dimension de sa virtuosité. Issu du jazz, ce musicien singulier explore de nouveaux ho…

Bunker Palace Hotel / Enki Bilal, réal., scénario |

Bunker Palace Hotel / Enki Bilal, réal., scénario

[Blu-Ray + DVD]


2024

Dans un pays inconnu, dans une ville inconnue, lors d'une guerre inconnue, s'agite sous terre l'élite d'un régime inconnu. Son quartier général : le Bunker Palace Hôtel, offrant confort et sécurité. Tout semble se dérouler pour le mieux pour les dignitaires du régime qui attendent leur président. Cependant, d'étranges bruits courent à la surface de la terre et les rebelles sont de plus en plus act…

En savoir plus

Biographie

{{Japonais|Akira Kurosawa|黒澤 明|Kurosawa Akira}} est un réalisateur, producteur, scénariste et monteur japonais, né le 23 mars 1910 à Tokyo, où il est mort le 6 septembre 1998. Il est considéré comme l'un des cinéastes les plus célèbres et influents de l'histoire du cinéma. En cinquante-sept ans de carrière cinématographique, il a réalisé plus de trente films. Après une brève expérience de peintre, Akira Kurosawa entre dans l'industrie cinématographique japonaise en 1936 en tant qu'assistant réalisateur et scénariste. Il fait ses débuts en tant que réalisateur pendant la Seconde Guerre mondiale avec le film d'action populaire {{Japonais|La Légende du grand judo|姿三四郎|Sugata Sanshirō|1943}}. Son huitième long métrage, {{Japonais|L'Ange ivre|酔いどれ天使|Yoidore tenshi}}, sort en 1948 et est acclamé par la critique, consolidant sa réputation. Ce film marque les débuts de sa collaboration avec l'acteur Toshirō Mifune, qui va tourner dans seize de ses films. Pour {{Japonais|Rashōmon|羅生門}}, dont la première a lieu à Tokyo en août 1950, Akira Kurosawa reçoit le Lion d'or à la Mostra de Venise 1951. Cette récompense inattendue permet au film d'être diffusé en Europe et en Amérique du Nord. Son succès public et critique ouvre les portes de l'Occident au cinéma japonais et permet à d'autres cinéastes japonais d'obtenir une reconnaissance internationale. Des années 1950 au début des années 1960, Kurosawa réalise environ un film par an, dont {{Japonais|Vivre|生きる|Ikiru|1952}}, {{Japonais|Les Sept Samouraïs|七人の侍|Shichinin no samurai|1954}} et {{Japonais|Le Garde du corps|用心棒|Yōjinbō|1961}}. Au début des années 1970, il devient beaucoup moins prolifique, mais ses œuvres tardives {{Incise|dont {{Japonais|Kagemusha, l'Ombre du guerrier|影武者|Kagemusha|1980}} et {{Japonais|Ran|乱||1985}}}} continuent de remporter des prix, dont la Palme d'or au Festival de Cannes 1980 pour Kagemusha. En 1990, il reçoit l'Oscar d'honneur décerné par l'{{Langue|en|Academy of Motion Picture Arts and Sciences}} pour l'ensemble de ses réalisations qui ont inspiré, ravi, enrichi et diverti le public mondial et influencé les cinéastes du monde entier. En 1999, il est nommé à titre posthume « Personnalité asiatique du siècle » dans la catégorie « Arts, littérature, et culture » par le magazine Asiaweek et CNN, présenté comme l'une des cinq personnes ayant le plus contribué à l'épanouissement de l'Asie durant les cent dernières années.