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Traverser Tchernobyl / Galia Ackerman
[Livre]
Edité par Éditions Premier parallèle ; Corlet impr.
2022
L'auteure dépeint la ville actuelle de Tchernobyl, bouleversée par la catastrophe nucléaire et par ses conséquences. Elle révèle des éléments inconnus sur le désastre extraits de ses rencontres avec ceux qui ont choisi d'y rester et ceux qui ont participé à construire sa mémoire. ©Electre 2022
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- Langue
- français
- Description physique
- 1 vol. (239 p.)
- Collection
- Premier parallèle poche
- Cotes
- 363 ACK
- ISBN
- 978-2-85061-068-4
- EAN
- 9782850610684
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Livre - 2006 - Le temps, disent-ils / [textes de Éric Chevillard, Michel Poletti, Claude Gudin, et al.]
Disponible à Réserve Centrale (Jean Lévy)
Réserve Centrale Salle M01 | P FRA TEM | Livre | DisponibleAutre format
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Biographie
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Biographie

Sandrine Piau, après avoir rencontré William Christie au CNSM de Paris, où elle faisait ses études de harpe, est entrée dans le monde de la musique baroque et a collaboré avec les chefs les plus renommés dans ce répertoire : William Christie, Christophe Rousset, Hervé Niquet, Fabio Biondi, Gérard Lesne et bien d'autres. « Au départ, rien ne m’y prédestinait, d’autant plus que j’étais harpiste "moderne", je ne baignais pas du tout dans le baroque. William Christie, Christophe Rousset et tant d’autres ont clairement orienté ma vie musicale. De plus, ce milieu baroque était très perméable. Rencontrer un chef vous faisait entrer dans une sorte de famille et vous les rencontriez tous! », dit-elle en interview[1]. Mais la soprano a toujours refusé de se cantonner au baroque. Elle aborde notamment des rôles du répertoire classique : Weber et surtout Mozart où elle excelle, compositeur dont elle nourrit l'interprétation des œuvres de son expérience de baroqueuse : « il y a tous ces opéras seria qui sont moins souvent joués que la trilogie ou la Flûte enchantée. Des ouvrages comme Mitridate sont encore sur le modèle de l’opera seria haendélien avec des da capo, et les références au baroque ne peuvent qu’aider à la compréhension des ornements, écrits par Mozart », ajoute-t-elle[2]. Ce seront alors Servillia (La Clemenza di Tito), Pamina (Die Zauberflöte), Constance (Die Entführung aus dem Serail). Également amoureuse d'un répertoire vingtiémiste, elle ne fait que de rares incursions dans l'opéra du XIXe, citons toutefois ses interprétations des rôles de Nanetta (Falstaff de Verdi), Wanda (La Grande-Duchesse de Gérolstein d'Offenbach) et Sophie (Werther de Massenet). On la voit toutefois beaucoup plus aujourd'hui dans un répertoire plus récent : « j’enchaîne avec le Songe d'une nuit d'été de Britten puis Pelléas et Mélisande. J’ai également un Rosenkavalier en projet, donc des choses finalement très éclectiques. Hormis ce gros trou du XIXe siècle, tout m’interpelle ! [...] Prochainement, je vais chanter les Illuminations de Britten à Londres »[3]. Sandrine Piau se consacre également au lied et à la mélodie. Elle a enregistré des mélodies de Debussy avec Jos van Immerseel chez Naïve, et plus récemment l'album Évocation, fait de lieder et de mélodies de Debussy, Ernest Chausson, Richard Strauss, Zemlinsky, Charles Koechlin et Arnold Schoenberg, en compagnie de la pianiste Susan Manoff. Read more on Last.fm. User-contributed text is available under the Creative Commons By-SA License; additional terms may apply.