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Patrimoine, tags et graffs dans la ville : actes des rencontres, Bordeaux, 12 et 13 juin 2003 / [organisées par la Renaissance des cités d'Europe]

[Livre]

Edité par SCEREN-Centre régional de documentation pédagogique d'Aquitaine

2004

Public motivé
Niveau universitaire

Malgré la répression des auteurs et les politiques de nettoyage, les graffitis et tags ne cessent de se multiplier dans les espaces urbains. Spécialistes du patrimoine, élus, psychologues, sociologues, enseignants rendent compte ici des enjeux identitaires et sociaux qu'expriment ces inscriptions graphiques et du glissement de l'acte hors-la-loi vers un geste artistique de plus en plus accepté.

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Note
  • Bibliogr.
Langue
français
Description physique
227 p.-[16] p. de pl. en noir et en coul.
Date de publication
2004
Collection
Documents, actes et rapports pour l'éducation
Contributeurs
Renaissance des cités d'Europe. Éditeur scientifique
Cotes
  • 307 PAT
ISBN
2-86617-470-4
EAN
9782866174705 ; 2866174704
Numéro du document
9782866174705
Disponible

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Biographie

Élevé par sa mère, Sophie Trébuchet, dans l'esprit du royalisme, Victor Hugo se laisse peu à peu convaincre de l'intérêt de la république (J'ai grandi, écrit-il dans le poème Écrit en 1846 en réponse au reproche d'un ami de sa mère). Victor Hugo devient ainsi confident de Louis-Philippe en 1844, puis pair de France en 1845. Son premier discours en 1846 est pour défendre le sort de la Pologne écartelée entre plusieurs pays, puis en 1847, il défend le droit au retour des bannis, dont celui de Jérôme Napoléon Bonaparte. Il réclame la diminution du temps de travail des enfants, de 16 heures à 10 heures, mais sa proposition est contrée par le baron Louis Jacques Thénard dont il se vengera en formant le nom des Thénardier, ses personnages les plus détestables des Misérables. Le 25 février 1848, il est nommé maire du . Après un premier échec, il est élu le 4 juin 1848- député de la deuxième République et siège parmi les conservateurs. Le 20 juin, il prononce son premier discours à l'Assemblée. Lors des , il devient, comme soixante autres, commissaire chargé par l’Assemblée Constituante de rétablir l’ordre. Il commande des troupes face aux barricades, dans l'arrondissement parisien dont il se trouve être le maire. Il désapprouvera plus tard la répression sanglante à laquelle il a participé. Il fonde le journal L'Événement en août 1848. Il est déçu par les autorités issues de la révolution de février et les lois répressives, que vote l'assemblée constituante contre la presse les 9 et 11 août 1848-, le révulsent et lui font dire : « Les hommes qui tiennent le pays depuis février ont d’abord pris l’anarchie pour la liberté ; maintenant ils prennent la liberté pour l’anarchie ». Il soutient la candidature de Louis-Napoléon Bonaparte, élu président de la République en décembre 1848. Après la dissolution de l'Assemblée nationale, il est élu le 13 mai 1849 à l'Assemblée législative et prononce son Discours sur la misère le 9 juillet 1849. Il rompt avec Louis-Napoléon Bonaparte, lorsque celui-ci soutient le retour du pape à Rome, et il se bat progressivement contre ses anciens amis politiques, dont il réprouve la politique réactionnaire.