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Orlando furioso / Vivaldi

[Livre]

Antonio Vivaldi

Edité par L'Avant-Scène Opéra

2011

Autres documents de la même série
Contient
  • Vivaldi et l'opéra - Philippe Venturini
  • Venise, 1727 : musique et société - Patrick Barbier
  • Roland, de l'Arioste à Vivaldi - Olivier Rouvière
  • Roland furieux, chant XXIII (extraits) - Ludovico Ariosto
  • Musica e parole, l'équilibre expressif - Claudio Scimone
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2024

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Biographie

On conserve une cinquantaine d’œuvres de musique religieuse de différents types : éléments de la messe tridentine et leur introduction sur texte libre (Kyrie, Gloria, Credo), psaumes, hymnes, antiennes, motets, dont ses Nisi Dominus, RV 608, et Filiae maestae Jerusalem RV 638, composés probablement vers 1716. Les formules vocales sont également diverses : chant soliste (cas général des motets, qui ne sont autres que des cantates sacrées), chœur, solistes et chœur, double chœur. Elles dépendaient de l’institution pour laquelle elles furent composées, soit l’église de la Pietà, où elles étaient interprétées pour un public payant sa place comme pour un concert, soit pour la basilique Saint-Marc dont les tribunes se faisant face avaient donné naissance à la tradition des compositions en double chœur, soit enfin pour des commanditaires tel le Cardinal Ottoboni. C’est pour les besoins de la religion que Vivaldi put donner libre cours à son génie exceptionnel en matière de musique chorale, dont l’emploi à l’opéra était parcimonieux. C’est également dans ce domaine qu’il pouvait utiliser des voix autres que les voix féminines de soprano et de contralto. Ceci distingue cette musique dans sa production : ce sont des œuvres de grande qualité dans lesquelles se marient la tradition polyphonique et le caractère festif et enjoué qui lui est propre. Cependant il n’y fait pas autant figure de novateur que dans ses concertos. Les compositions à double chœur sont au nombre de sept (Kyrie, Domine ad adjuvandum me, Dixit Dominus, Beatus vir, Lauda Jerusalem, Magnificat et Salve regina) : elles constituent, avec le Gloria RV 589 et le Stabat Mater le fonds de ce répertoire, qui jouit depuis les débuts de la « Vivaldi Renaissance » des années 1950, de la faveur des musiciens et du public. Quant à l’oratorio Juditha Triumphans, son caractère et sa destination le rapprochent plus de l’opéra, malgré un argument tiré des livres saints. C'est le seul oratorio conservé parmi les quatre qu’aurait composés Vivaldi ; les autres avaient pour titre : La Vittoria navale, Moyses Deus Pharaonis et L'Adorazione delli tre re Magi.