Vous êtes ici : Accueil / Détail du document

Et les Beatles montèrent au ciel : le concert du Rooftop / Valentine Del Moral

[Livre]

Valentine Del Moral

Edité par le Mot et le reste

2019

Le récit de l'ultime concert des Beatles, qui eut lieu en janvier 1969 sur le toit de leur compagnie Apple Records. Ils se produisirent durant quarante-deux minutes avant d'annoncer leur séparation quelques mois plus tard. L'auteure s'attache à montrer la dimension biblique de cette prestation, avec ses figures christiques, son ascension vers le ciel et ses fidèles. ©Electre 2019

Langue
français
Description physique
1 vol. (151 p.)
Cotes
  • 781.95 DEM
ISBN
978-2-36139-022-8
EAN
9782361390228
Disponible

Plus d'infos

Où le trouver ?

Pour réserver un exemplaire, il est nécessaire d'être authentifié. Les réservations dépendent de votre abonnement en cours.

Livre - 2020 - Je suis une sorcière : kaléidoscope de ma vie / Valeska Gert

Disponible à Conservatoire de Musique - Centre de documentation

Salle de Lecture (Conservatoire) | 8.6 GER | Livre | Disponible

Disponible à Médiathèque d'Hellemmes

Espace Ado/Adulte (Hellemmes) | ART SPE ger | Livre | Disponible

Suggestions

Du même auteur

Et les Beatles montèrent au ciel | Del Moral, Valentine

Et les Beatles montèrent au ciel

[Livre numérique]


Del Moral, Valentine

Chez Zola : si Médan m'était conté / Valentine del Moral | Valentine Del Moral

Chez Zola : si Médan m'était conté / Valentine del Moral

[Livre]


Valentine Del Moral
2015

Chez Zola ! | Del Moral, Valentine

Chez Zola !

[Livre numérique]


Del Moral, Valentine

En savoir plus

Biographie

Gertrud Valesca Somes, dite Valeska Gert, née le 11 1 1892 à Berlin et morte entre le 15 et 18 3 1978 à Kampen sur l’île de Sylt, est une danseuse, humoriste et actrice allemande. Artiste autodidacte née dans une famille bourgeoise de Juifs berlinois, elle a commencé à danser à 9 ans. Elle s'est, par la suite, produite en solo dans des personnages très éloignés de la bourgeoisie, pour mieux la caricaturer. Elle peint des personnages marginaux : « Parce que je n'aimais pas les bourgeois, je dansais des personnages qu'ils méprisaient, prostituées, entremetteuses, marginaux, dépravés. » Dans l'une de ses prestations remarquables, elle exprime par son corps un cri sans son. Réfractaire à toutes les écoles, elle s'inscrit toutefois dans le courant expressionniste. Sa danse, contrairement à Wigman, se révèle virulente et provocatrice. Elle croque au vitriol les travers des classes moyennes et illustre le rythme frénétique de la vie moderne. Elle a également fait une partie de sa carrière au cinéma qu'elle a débuté en 1915 avec Maria Mossi.