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Jugements derniers : le procès Pétain, le procès de Nuremberg, le procès Eichmann / Joseph Kessel,...

[Livre]

Joseph Kessel

Edité par Éditions Tallandier

2007

Trois procès historiques commentés par J. Kessel, alors grand reporter pour France-Soir.

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Langue
français
Description physique
1 vol. (237 p.)
Date de publication
impr. 2007
Collection
Texto (Paris. 2007)
Collection
Texto
Contributeurs
Lacassin, Francis (1931-2008). Éditeur scientifique. Préfacier, etc.
Cotes
  • 942 KES
  • 940.3 KES
ISBN
978-2-84734-428-8
EAN
9782847344288
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En savoir plus

Biographie

Joseph Kessel, parfois dit « Jef »{{Note|groupe=Note|Kessel, qui n'aimait guère son prénom, tenait à ce que son nom soit graphié « J. Kessel » sur la couverture et à l'intérieur de ses livres. Voir « Note sur la présente édition » de Serge Linkès, dans Romans et récits, I, Bibliothèque de la Pléiade, Gallimard, 2020, p. LIX.}}, né le 10 février 1898{{Note|groupe=Note|À la suite d'un oubli de déclaration de la part de ses parents et des témoins, il fut déclaré né Joseph Elie Ressel le {{date-|10 février}} à la colonie de Villa Clara en Argentine. Si Ressel a bien été corrigé en Kessel, sa mère n'a jamais réussi à faire changer la date{{sfn|Weber|2019|loc=Argentine}}.}} à Villa Clara (Entre Ríos, Argentine) et mort le 23 juillet 1979 à Avernes (Val-d'Oise), est un romancier, grand reporter, aventurier, résistant et académicien français. Engagé volontaire en France comme aviateur pendant la Première Guerre mondiale, il tire de cette expérience humaine son premier grand succès littéraire, L'Équipage, publié à 25 ans. Dès lors, son œuvre romanesque se nourrit de l'aventure humaine dans laquelle il s'immerge, à la recherche d'hommes exceptionnels. Après la guerre, il se consacre en parallèle au journalisme et à l'écriture romanesque. Il participe à la création de Gringoire, un hebdomadaire politique et littéraire qui devient l'un des plus importants de l'entre-deux-guerres, et signe des grands reportages à succès pour Paris-Soir que dirige alors Pierre Lazareff. Il publie notamment Belle de jour, qui fait scandale et reste entouré d'une réputation sulfureuse jusqu'à son adaptation cinématographique en 1967 par Luis Bunuel, et Fortune carrée, roman inspiré d'un périple en Mer Rouge lors duquel il rencontre Henry de Monfreid. Quand éclate la Seconde Guerre mondiale, il est correspondant de guerre, puis rejoint la Résistance et rallie le général de Gaulle à Londres. Il y compose et coécrit avec son neveu Maurice Druon les paroles du Chant des partisans, qui devient l'hymne de la Résistance, et écrit L'Armée des ombres en hommage à ses combattants, puis finit la guerre comme capitaine dans l'aviation. Après la Libération, il retourne aux voyages — dont il tire de grands reportages et la matière de romans, dont celui qui est considéré comme son chef-d'œuvre romanesque, Les Cavaliers, ou encore Le Lion, qui rencontre un immense succès. Il se consacre aussi au devoir de mémoire et d'amitié en écrivant la biographie d'hommes comme le Dr Kersten, dans Les Mains du miracle, ou Jean Mermoz. Il est élu à l'Académie française en 1962.