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Classe tous risques / José Giovanni

[Livre]

José Giovanni

Edité par Gallimard ; 2024

Abel Davos est en cavale après le fiasco de son dernier coup en Italie. Son associé et sa femme ont été abattus par les douaniers à Menton. Seul avec ses deux enfants, sans argent, l'ennemi public fait appel à de vieux amis qui lui sont redevables. Ceux-ci lui envoient Eric Stark, un jeune inconnu prêt à tous les risques pour aider ce gangster qu'il admire. Une amitié naît entre les deux hommes. ©Electre 2024

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Langue
français
Description physique
1 vol. (264 p.)
Collection
Collection Série noire
Collection
Série noire
Contributeurs
Larriba, Luc. Préfacier, etc.
ISBN
978-2-07-305712-9
EAN
9782073057129
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Biographie

José Giovanni est un écrivain, scénariste, dialoguiste et réalisateur français (ayant acquis également la nationalité suisse en 1986), né le 22 juin 1923 à Paris et mort le 24 avril 2004 à Lausanne (Suisse). Condamné à mort en 1948 pour extorsion de fonds et complicité d'assassinat, il est gracié puis libéré de prison en 1956 après onze ans d'incarcération. Encouragé par son avocat Stephen Hecquet, il se lance dans l'écriture. Son premier livre, Le Trou, récit de sa tentative d'évasion de la prison de la Santé en 1947, est rapidement publié en 1957 par Gallimard, qui prend une option sur dix autres romans. Dans les années qui suivent, il devient un auteur de référence de la Série noire, en y publiant notamment Le Deuxième Souffle et Classe tous risques, qui deviendront des classiques de la littérature policière. Au total, Giovanni a publié vingt et un romans ainsi que des mémoires. Pour composer ses intrigues policières, il puise principalement dans son expérience personnelle ou s'inspire de personnages ayant réellement existé et qu'il a croisés en prison {{incise|comme Abel Danos, ou Auguste Méla|oui}}. Ses romans sont portés à l'écran par des metteurs en scène prestigieux dont Jacques Becker, Claude Sautet et Jean-Pierre Melville, qui font appel à lui pour l'adaptation. En 1966, il se lance dans la mise en scène avec La Loi du survivant, adaptation d'une partie de son roman Les Aventuriers. dix-neuf autres films et téléfilms suivront jusqu'en 2001. Dans ses films aussi bien que dans ses romans, il dépeint la pègre et sa mythologie : amitié virile et code d'honneur, fidélité et trahison, vendetta et vengeance. Au travers de certains de ses films (Un aller simple, Deux Hommes dans la ville), il milite également contre la peine de mort. José Giovanni n'a jamais fait mystère de son passé carcéral ni de sa condamnation à mort. En 1993, une agence de presse suisse a rappelé les faits de collaboration pour lesquels il avait été également condamné.